Balade

Sarah vola lentement au dessus de quelques morceau de métal qui trainaient dans le coin et puis lorsqu'ils eurent tous disparut elle se posa en douceur, prit sa planche sous le bras et s'approcha d'un rocher qui surplombait légèrement la cime des arbres.
De là haut, elle eut une charmante vue sur l'étendue de la forêt et elle respira à plein poumon l'air naturel qui venait lui chatouiller les narines. Même si cela faisait 5 ans qu'elle était jamais elle ne se lasserait de cette odeur enivrante.

Toute souriante, la Fumante sortit de son sac le papier et le crayon et s'instala confortablement sur sa plateforme naturelle. Elle posa avec soin la mine sur le papier et traça un léger trait le long. Pendant son exil à la Fumée, elle s'était découvert une nouvelle passion le dessin.

Depuis plusieurs minutes, elle était là, installée, perchée sur son monticule de pierre et elle contemplait ave joie, la cime des arbres et des sapins qui s'étendait devant elle. Sur son papier, elle avait représenté un oiseau. Un oiseau en plein vol. Symbolique pour elle. un oiseau libre. Libre d'aller où bon lui semble, libre de tout lâcher sur un coups de tête. mais l'oiseau doit se méfier aussi. Se méfier des obstacles s'il ne veut pas chuter.
Sarah observa sa feuille en silence et secoua la tête. Après 5 ans, à la Fumée, sarah pensait que tout irait pour le mieux. En effet, elle n'avait jamais été aussi épanouis mais un problème s'offrait à elle. tout cela était trop banale, trop régulier. Toujours la même chose, la même forêt avec les même personnes, les même travaux, les même journées. Tout devenait trop quotidien.

La jeune femme baissa la tête et contempla le sol plus bas, où l'attendait sa planche. Il faudrait qu'elle aille parler à Edward de tout ça. Au campement c'était son meilleur ami, son frère même. Il la faisait rire et il lui donnait aussi de bons conseil. mais cette fois-ci face à une telle situation qu'allait-il bien pouvoir dire?... Sarah secoua une nouvelle fois la tête et leva les yeux. Le ciel était clair, l'été était là et le soleil le rappelait en réchauffant les environs.

- tu aurais du te mefier de mes prevention Sarah!

Je redressais la tête surprise. May se trouvait devant moi. Encore une fois, elle était arrivée aussi silencieuse que la brise. Etonnant ce que l'Opération pouvait faire. J'allais rire mais je vis à son regard qu'elle était sérieuse et au lieu de cela je soupirais. je rangeais mes dessins dans mon sac et me redressais.

- Tu es bien placée pour parler de désobéissance je crois... Sinon tu ne serais pas Spécial.

Je rejettais mes cheveux et entamais la descente du rocher. Bien sûr, elle fut en bas avant moi et me toisa. Je lui jetais un regard étonné et souris.

- Tu sais bien que je n'ai jamais aimé les régles et que je ne les ai jamais suivit!

- oui je le sais dis-je en soupirant

une de mes longue meche me tombas sur les yeux, d'un coup de tète je la relancas en arriere

- je sais aussi que en restant a la fumée tu ne respecte pas nous ne disont rien MAIS est l'efort de garder tes limite de nous. tu ma laisser tombé et j'ai garder ton secret que veux tu de plus??? que je t'en remercie? que tu est lache

Je soupirais. dire qu'avant nous étions inséparable...

- Je sais très bien ce que tu as fait pour moi et je te remercie! Mais ne me traite pas de lache. A la base, c'est toi qui n'as pas voulu fuir par lacheté si je me souviens bien.

Je ramassais ma planche prête à partir et me redressais vers elle.

- Mais vu que c'est toi qui me le demande je vais rentrer. Après tout, apparament même ici tu fais ta loi.

- SARAH!! je voulais etre pretty, tu le savait ! tu le savait si bien... telement bien. On avais fait des projets et toi comme un monstre tu est partie
maintenant vas rejoindre tes fumants et ne traine plus dans le coin
et si j'aprend que vous depasser vos limite je te mes en boulli toi et tout tes petit compagnons

Je me retournais brusquement.

- Regarde toi May! C'est ça que tu voulais? Et bien pas moi! Et je suis heureuse du choix que j'ai fait! De plus, je ne dépasse pas les limites. Comme tu disais si bien, quand on y croit, il n'y a plus aucune limite. j'y crois toujours!

Je montais sur ma planche et filais. Je ravalais mes larmes. Et la colère s'empara encore de moi, lorsque je pensa qu'elle ne pleurait certainement pas elle. Elle ne devait pas connaitre ça!

je la regardas partir au loin...
Un special ne pleur pas
je ne dois pas pleurée
pourquoi crois ton quÄun special est different que les autre
nous somme humain!
merde
je remontis sur ma planche et survola la vallé avant de partir en fleche vers New pretty town